yria17 a écrit :encore une leçon d'humour de seconde zone noot? :sleeping:

":sleeping:"

Désolé de trouver ça con et crasseux, qu'un film restreigne les rondes à la seule beauté intérieure... et de le dire (certes, à ma manière, souvent détournée, sachant que le rire le plus crétin peut avoir quelque chose de sérieux, vital, et salvateur) :
Mais quand un film de merde ne trouve rien d'autre à déverser comme saloperies que "vous êtes grosses, donc vous êtes moches, mais vous pouvez être belles à l'intérieur", tu veux faire quoi?
Aquiescer de la tête poliment en remerciant le réalisateur,
pleurer et se consoler de cette gentille morale à deux balles,
faire des chichis sur le jeu des acteurs,
ou encore t'outrer de cet affront à l'image des rondes en écrivant une lettre de protestation scandalisée au scénariste en lui racontant qu'une femme ronde que tu découvres sans cesse est tellement entièrement belle que ça te fais lui dire "je t'aime" dès que tu ouvres les yeux le matin à coté d'elle, et que d'ailleurs t'as jamais vraiment compris cette histoire à la con de distinction entre l'intérieur et l'extérieur, et qu'en plus tu l'aimes pour tout ce qu'elle est?
Non. Rien de tout ça. Y'a même des gens pour s'en consoler, de ces histoires de merde sur la beauté intérieure. Un peu plus et on le remercierait, ce réalisateur de mes deux. Alors, autant raconter une connerie, juste histoire de remuer un peu la merde de toute cette crasseuse et écoeurante comédie.
Enfin, si mon humour vaseux t'endors, lis mes messages juste avant d'aller au lit.