38 ans
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Salvateur, je ne sais pas... "Ecrire sa vie" m'évoque une vaste démarche, je ne sais pas ce que tu entends par là ?
De mon côté, je tiens un journal intime depuis quelques temps et je suis étonnée de continuer et d'apprécier cela. Pour moi c'est autre chose qu'avec mon psy, c'est vraiment différent, même si parfois ça nourrit cet espace aussi (là aussi, ça m'a surprise. Je pensais qu'écrire ce que j'y écrivais ne serait qu'une sorte de déversoir, et je sais bien que parler, dire, ne suffit pas pour aller mieux.). Je n'ai pas connu mieux que l'expérience de la relation avec un autre-que-soi et l'écoute attentive, non directive et sensible d'un psy pour m'aider à transformer ce qui me pèse/lance/crève/brûle/gratte/rend folle d'amour ou de haine.(Pour autant, c'est dur dur et pas systématique.)
Avant j'aimais plus écrire ce que je vivais sous des formes fictives ou les dessiner.
Écrire mes pensées c'est surtout un moyen pour moi de faire quelque chose de ce qui m'anime à certains moments.
Je ne crois pas que dans l'absolu ça m'aide particulièrement à "avancer" mais ça y participe peut-être partiellement et surtout, ça me fait du bien à certains moments, de pouvoir y exprimer certaines choses sans d'autre prétention ou objectif. J'ai souvent mon cahier avec moi et parfois je vais dans un endroit qui me plaît juste pour y écrire. Ça peut être très court, sur des sentiments agréables ou non, juste le temps de décrire mes sensations à être à cet endroit là, ou je m’épanche et radote allègrement sur ce qui s'agite en moi :)
Quant à savoir si ces espaces (psychiatre, psychologue) sont suffisants, peut-être pas, mais je me dis que ça dépend surtout de comment ils sont proposés par eux et utilisés par toi. En dehors de ces questions, as-tu déjà ressenti l'intérêt ou l'envie d'une approche plus corporelle ou créative ?
En tout cas, rien de tel que de te lancer si l'envie d'écrire te vient... qui sait ? :)
De mon côté, je tiens un journal intime depuis quelques temps et je suis étonnée de continuer et d'apprécier cela. Pour moi c'est autre chose qu'avec mon psy, c'est vraiment différent, même si parfois ça nourrit cet espace aussi (là aussi, ça m'a surprise. Je pensais qu'écrire ce que j'y écrivais ne serait qu'une sorte de déversoir, et je sais bien que parler, dire, ne suffit pas pour aller mieux.). Je n'ai pas connu mieux que l'expérience de la relation avec un autre-que-soi et l'écoute attentive, non directive et sensible d'un psy pour m'aider à transformer ce qui me pèse/lance/crève/brûle/gratte/rend folle d'amour ou de haine.(Pour autant, c'est dur dur et pas systématique.)
Avant j'aimais plus écrire ce que je vivais sous des formes fictives ou les dessiner.
Écrire mes pensées c'est surtout un moyen pour moi de faire quelque chose de ce qui m'anime à certains moments.
Je ne crois pas que dans l'absolu ça m'aide particulièrement à "avancer" mais ça y participe peut-être partiellement et surtout, ça me fait du bien à certains moments, de pouvoir y exprimer certaines choses sans d'autre prétention ou objectif. J'ai souvent mon cahier avec moi et parfois je vais dans un endroit qui me plaît juste pour y écrire. Ça peut être très court, sur des sentiments agréables ou non, juste le temps de décrire mes sensations à être à cet endroit là, ou je m’épanche et radote allègrement sur ce qui s'agite en moi :)
Quant à savoir si ces espaces (psychiatre, psychologue) sont suffisants, peut-être pas, mais je me dis que ça dépend surtout de comment ils sont proposés par eux et utilisés par toi. En dehors de ces questions, as-tu déjà ressenti l'intérêt ou l'envie d'une approche plus corporelle ou créative ?
En tout cas, rien de tel que de te lancer si l'envie d'écrire te vient... qui sait ? :)