219
Bonsoir Littles0,
Permets que je partage ma « petite » expérience.
Je n’avais, et ce, jusqu’à mes 35 ans, jamais eu la moindre pensée à l’endroit de la Grande Faucheuse. Jamais... Insouciance, joie de vivre, liberté étaient mes seules guides.
Arriva alors la perte tragique de mon père, pendant son sommeil, des suites d’une crise cardiaque.
Il avait 74 ans, là où ses frères et sœurs dépassaient les 90 ans.
Sa condition physique (enbompoint, diabète, stress) lui aura été fatale.
Depuis lors, donc, il ne se passe plus un jour sans que j’y pense moi aussi.
Néanmoins, tu dois absolument relativiser :) et savourer cette chance qui nous est offerte.
Dernièrement, Louis Nicollin, un bon vivant, président du club de football de Montpellier, nous a quittés, à 74 ans lui aussi. Mêmes causes, mêmes conséquences que pour mon pauvre père.
Il y a fort à parier que lorsque la fatalité frappera à notre porte, nous ne nous rendrons compte de rien.
Autant l’assimiler (facile à dire, j’en conviens) et profiter plus que jamais de ses proches et de la vie.
Si ton entourage familial, dont tu auras hérité des gènes, n’a pas perdu la vie aussi tôt que tes angoisses ne te le suggèrent, tu peux dormir tranquille.
Je te rejoins sur le fait qu’il n’est jamais trop tard pour changer ses habitudes. La pratique sportive, que tu abhorres, peut se révéler être un excellent moyen pour dissiper tes idées sombres.
Fonce et mesure les changements opérés ensuite sur ton corps. Tu seras peut-être définitivement rassurée.
Courage à toi.
PS: je n’ai pas souhaité voir de psychologue. Trop borné à digérer seul les aléas de la vie (ce dont je suis très fier).
Permets que je partage ma « petite » expérience.
Je n’avais, et ce, jusqu’à mes 35 ans, jamais eu la moindre pensée à l’endroit de la Grande Faucheuse. Jamais... Insouciance, joie de vivre, liberté étaient mes seules guides.
Arriva alors la perte tragique de mon père, pendant son sommeil, des suites d’une crise cardiaque.
Il avait 74 ans, là où ses frères et sœurs dépassaient les 90 ans.
Sa condition physique (enbompoint, diabète, stress) lui aura été fatale.
Depuis lors, donc, il ne se passe plus un jour sans que j’y pense moi aussi.
Néanmoins, tu dois absolument relativiser :) et savourer cette chance qui nous est offerte.
Dernièrement, Louis Nicollin, un bon vivant, président du club de football de Montpellier, nous a quittés, à 74 ans lui aussi. Mêmes causes, mêmes conséquences que pour mon pauvre père.
Il y a fort à parier que lorsque la fatalité frappera à notre porte, nous ne nous rendrons compte de rien.
Autant l’assimiler (facile à dire, j’en conviens) et profiter plus que jamais de ses proches et de la vie.
Si ton entourage familial, dont tu auras hérité des gènes, n’a pas perdu la vie aussi tôt que tes angoisses ne te le suggèrent, tu peux dormir tranquille.
Je te rejoins sur le fait qu’il n’est jamais trop tard pour changer ses habitudes. La pratique sportive, que tu abhorres, peut se révéler être un excellent moyen pour dissiper tes idées sombres.
Fonce et mesure les changements opérés ensuite sur ton corps. Tu seras peut-être définitivement rassurée.
Courage à toi.
PS: je n’ai pas souhaité voir de psychologue. Trop borné à digérer seul les aléas de la vie (ce dont je suis très fier).