37 ans
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Avant, je faisais des crises d'angoisses et de spasmophilie. Comme mes parents ne me croyaient pas, je devais m'en sortir seule. J'essayais de fermer les yeux, de respirer lentement, mais c'était toujours très difficile...
Mais je m'en suis sortie. Grâce au chéri, je dois l'avouer. Il me parlait, il me calmait, et quand j'ai déménagé pour vivre avec lui, ces crises se sont doucement estompées et ça fait longtemps que je n'en ai pas eu (je touche du bois).
Je ne sais pas quoi te conseiller, honnêtement. Il est difficile d'être calme et rationnel dans ces cas là, je sais à quel point l'angoisse submerge, comme si on était aspirée dans une sorte de trou noir, impossible de lutter.
Ce qui me faisait du bien, à moi, c'était de penser au chéri. Peut-être en pensant à quelque chose d'agréable, en marchant, en respirant, en faisant appel à un ami proche. Je crois qu'il est plus facile de s'en sortir à deux que seule.
Je ne t'aide pas vraiment, j'en suis désolée mais j'avoue être un peu dépourvue face à ça...
Mais je m'en suis sortie. Grâce au chéri, je dois l'avouer. Il me parlait, il me calmait, et quand j'ai déménagé pour vivre avec lui, ces crises se sont doucement estompées et ça fait longtemps que je n'en ai pas eu (je touche du bois).
Je ne sais pas quoi te conseiller, honnêtement. Il est difficile d'être calme et rationnel dans ces cas là, je sais à quel point l'angoisse submerge, comme si on était aspirée dans une sorte de trou noir, impossible de lutter.
Ce qui me faisait du bien, à moi, c'était de penser au chéri. Peut-être en pensant à quelque chose d'agréable, en marchant, en respirant, en faisant appel à un ami proche. Je crois qu'il est plus facile de s'en sortir à deux que seule.
Je ne t'aide pas vraiment, j'en suis désolée mais j'avoue être un peu dépourvue face à ça...