S
J'ai vécu cela, comme je crois beaucoup de mamans.
Mes deux soeurs ainées m'ont toujours donné pleiiiiins de conseils, pendant la grossesse, pour l'accouchement, pour l'allaitement, pour l'éducation, pour comment faire avec mon mari et blabla.....
J'ai fait comme j'ai toujours fait avec elle.Je disais, ah ok, c'est intéressant et..... j'ai toujours fait comme je voulais :D . Après un certain nombre d'années, elles ont eu une illumination "ah mais en fait t'écoutes jamais les conseils, tu dis ok, mais après tu fais comme tu veux" J'ai dit "oui, voilà c'est exactement cela. En fait je vous écoute, mais je fais comme je pense le mieux pour moi et mes enfants". Du coup, elles ont cessé :D .
Ma belle-mère cela a été l'horreur dès l'annonce de ma grossesse (bon elle ne m'aimait pas avant déjà). J'ai eu droit à son avortement, ses grossesses et ses accouchements en boucle à chaque fois que je la voyais. Elle m'a fait cheesse sur mon poids, sur son angoisse que ses petits-enfants soient gros, qu'elle rêvait de petits-enfants aux yeux bleus alors comme j'avais les yeux bruns elle avait peur que son rève ne se réalise pas. Bref.
Ensuite pour l'éducation, on était en accord sur rien. J'ai eu droit à "tu lui donnes trop ou pas assez à manger, moi mon fils il était à 8 mois sur le pot". Enceinte de mon deuxième enfant, j'ai eu un grave souci (méningite due à la listéria) à la 28ème semaine de grossesse. Je suis restée à l'hôpital deux semaines, il fallait empêcher que mon fils vienne au monde car il serait né prématuré avec la méningite. Mais on a pas pu me garantir qu'il n'y aurait pas de séquelles, il fallait attendre la naissance. Elle m'a téléphoné à l'hôpital pour me demander d'avorter et d'en refaire un autre car dans leur famille il n'y avait pas eu d'enfant handicapé. Je lui ai signifié assez sechement que cela n'était pas son problème, elle m'a dit, faudra pas te plaindre s'il est handicapé.
Pour mon ainé à qui j'avais acheté une cuisine pour ses deux ans "faudra pas te plaindre s'il est homosexuel" etc... il y aurait tellement à dire sur ma belle-mère mais cela soule au bout d'un moment.
Le seul conseil, c'est que quand elle va trop loin, tu lui signifies que les décisions se prennent entre toi et ton mari et en aucun cas avec les grand-parents. Autrement tu lui dis chaque fois avec un sourire, Merci pour ton avis mais je ferai comme je pense, j'assumerai mes erreurs au cas ou ;) .
Ta belle-mère sera la grand-mère de ton enfant et en aucun cas sa mère et elle aura une influence toute relative sur ses petits-enfants. L'éducation c'est toi et ton mari, les autres tu t'en fiches.
C'est la seule chose à faire car tu rencontreras toujours des gens qui te diront comment faire, tu ne pourras pas y changer. C'est comme par la suite, certaines maitresses d'école dont une qui m'a dit que mon second n'arriverait jamais à l'école primaire. J'ai dit merci pour votre avis, je vais aviser et j'ai continué à faire comme je pensais. Je crois que l'important c'est de croire en ce qu'on fait. Je n'ai jamais douté du fait que je faisais au mieux en fonction de mes convictions et même si j'ai fait des erreurs je sais pourquoi je les ai faites, tes enfants le comprendront ne t'inquiètes pas.
Mes deux soeurs ainées m'ont toujours donné pleiiiiins de conseils, pendant la grossesse, pour l'accouchement, pour l'allaitement, pour l'éducation, pour comment faire avec mon mari et blabla.....
J'ai fait comme j'ai toujours fait avec elle.Je disais, ah ok, c'est intéressant et..... j'ai toujours fait comme je voulais :D . Après un certain nombre d'années, elles ont eu une illumination "ah mais en fait t'écoutes jamais les conseils, tu dis ok, mais après tu fais comme tu veux" J'ai dit "oui, voilà c'est exactement cela. En fait je vous écoute, mais je fais comme je pense le mieux pour moi et mes enfants". Du coup, elles ont cessé :D .
Ma belle-mère cela a été l'horreur dès l'annonce de ma grossesse (bon elle ne m'aimait pas avant déjà). J'ai eu droit à son avortement, ses grossesses et ses accouchements en boucle à chaque fois que je la voyais. Elle m'a fait cheesse sur mon poids, sur son angoisse que ses petits-enfants soient gros, qu'elle rêvait de petits-enfants aux yeux bleus alors comme j'avais les yeux bruns elle avait peur que son rève ne se réalise pas. Bref.
Ensuite pour l'éducation, on était en accord sur rien. J'ai eu droit à "tu lui donnes trop ou pas assez à manger, moi mon fils il était à 8 mois sur le pot". Enceinte de mon deuxième enfant, j'ai eu un grave souci (méningite due à la listéria) à la 28ème semaine de grossesse. Je suis restée à l'hôpital deux semaines, il fallait empêcher que mon fils vienne au monde car il serait né prématuré avec la méningite. Mais on a pas pu me garantir qu'il n'y aurait pas de séquelles, il fallait attendre la naissance. Elle m'a téléphoné à l'hôpital pour me demander d'avorter et d'en refaire un autre car dans leur famille il n'y avait pas eu d'enfant handicapé. Je lui ai signifié assez sechement que cela n'était pas son problème, elle m'a dit, faudra pas te plaindre s'il est handicapé.
Pour mon ainé à qui j'avais acheté une cuisine pour ses deux ans "faudra pas te plaindre s'il est homosexuel" etc... il y aurait tellement à dire sur ma belle-mère mais cela soule au bout d'un moment.
Le seul conseil, c'est que quand elle va trop loin, tu lui signifies que les décisions se prennent entre toi et ton mari et en aucun cas avec les grand-parents. Autrement tu lui dis chaque fois avec un sourire, Merci pour ton avis mais je ferai comme je pense, j'assumerai mes erreurs au cas ou ;) .
Ta belle-mère sera la grand-mère de ton enfant et en aucun cas sa mère et elle aura une influence toute relative sur ses petits-enfants. L'éducation c'est toi et ton mari, les autres tu t'en fiches.
C'est la seule chose à faire car tu rencontreras toujours des gens qui te diront comment faire, tu ne pourras pas y changer. C'est comme par la suite, certaines maitresses d'école dont une qui m'a dit que mon second n'arriverait jamais à l'école primaire. J'ai dit merci pour votre avis, je vais aviser et j'ai continué à faire comme je pensais. Je crois que l'important c'est de croire en ce qu'on fait. Je n'ai jamais douté du fait que je faisais au mieux en fonction de mes convictions et même si j'ai fait des erreurs je sais pourquoi je les ai faites, tes enfants le comprendront ne t'inquiètes pas.