C
Merci Deputee pour ta réponse :)
Citation:
Je suis d’accord avec toi, mais malheureusement c’est la que je bloque et que la culpabilité prend le dessus.
En séance c’est toujours le même schéma :
- Je commence à exprimer mon ressenti, j’arrive à me replonger dans ce que je vivais enfant, je vois bien ma mère à cette époque, les larmes arrivent car c’est douloureux de ressasser ça, mais quelques mots sortent.
- Puis arrive le moment où l’image de ma mère de « maintenant » arrive, et là je me met à pleurer de colère contre moi de ne pas arriver à tourner la page et que je devrais m’en contenter et c’est tout.
- Et suite à ça, c’est le bloquage, je pleure et plus rien ne sort à par des « chai pas » quand ma psy me pose des questions, et des « chui nulle, ce que je dis c’est naze, ce sont des broutilles »
Citation:
Nous avons le projet, très prochainement d’ailleurs, de faire un bébé avec mon mari.
Mais j’aurais tant voulu régler mes problèmes avant que ce bébé n’arrive.
Certes j’ai encore le temps il n’est pas conçu, mais je me dis que de continuer ma thérapie enceinte n’est pas forcément une bonne chose.
J’ai commencé à l’évoquer en séance, mais il y a pas mal de choses à dépatouiller.
Comment as-tu été avec tes enfants ? A l’opposé de ta mère ? Est-ce que tu as du te battre pour être différente d’elle ou pour toi c’était naturel d’être maman ? (ne réponds pas si c’est trop indiscret).
Citation:
Je redoute que la même chose soit nécessaire pour moi… Et ça me fait mal car aujourd’hui avec ma mère ça va malgré tout le ressenti qui ressort en séance, j’ai plaisir à la voir.
Citation:
Je souhaite plus que tout en arriver là !!!! Que ça me passe au dessus, et que j’arrête de vouloir la sauver/protéger/guérir. D’arrêter de penser que je suis la cause de sa tristesse et que c’est de mon devoir de la rendre heureuse.
Citation:
C’est plus fort que moi, j’ai une telle colère en moi quand le blocage arrive que je n’arrive pas à faire le processus inverse : me calmer pour me débloquer.
Respirer ? Ne plus vouloir contrôler la penser, mais comment ?
Demander une autre approche sur ce sujet là à ma psy ?
Merci pour tes encouragement :kiss:
Citation:
« dire la vérité, ou ce que tu ressens être ta vérité, ce n'est pas dire du mal de ta maman, c'est exprimer ton ressenti, ce n'est pas la même chose. »
Je suis d’accord avec toi, mais malheureusement c’est la que je bloque et que la culpabilité prend le dessus.
En séance c’est toujours le même schéma :
- Je commence à exprimer mon ressenti, j’arrive à me replonger dans ce que je vivais enfant, je vois bien ma mère à cette époque, les larmes arrivent car c’est douloureux de ressasser ça, mais quelques mots sortent.
- Puis arrive le moment où l’image de ma mère de « maintenant » arrive, et là je me met à pleurer de colère contre moi de ne pas arriver à tourner la page et que je devrais m’en contenter et c’est tout.
- Et suite à ça, c’est le bloquage, je pleure et plus rien ne sort à par des « chai pas » quand ma psy me pose des questions, et des « chui nulle, ce que je dis c’est naze, ce sont des broutilles »
Citation:
« moi qui étais une jeune mère et qui comprenait enfin ce que c'était que vouloir que son enfant passe forcément avant soi, et comme cela m'avais fait grandir de penser à quelqu'un avant ma petite personne. »
Nous avons le projet, très prochainement d’ailleurs, de faire un bébé avec mon mari.
Mais j’aurais tant voulu régler mes problèmes avant que ce bébé n’arrive.
Certes j’ai encore le temps il n’est pas conçu, mais je me dis que de continuer ma thérapie enceinte n’est pas forcément une bonne chose.
J’ai commencé à l’évoquer en séance, mais il y a pas mal de choses à dépatouiller.
Comment as-tu été avec tes enfants ? A l’opposé de ta mère ? Est-ce que tu as du te battre pour être différente d’elle ou pour toi c’était naturel d’être maman ? (ne réponds pas si c’est trop indiscret).
Citation:
« J'ai même coupé tout lien ave"c ma mère hormis lui envoyer de temps en temps mes enfants pendant un an.ce fut un passage nécessaire pour moi pour devenir une maman. »
Je redoute que la même chose soit nécessaire pour moi… Et ça me fait mal car aujourd’hui avec ma mère ça va malgré tout le ressenti qui ressort en séance, j’ai plaisir à la voir.
Citation:
« même si elle refuse toujours d'évoluer sur certaines choses. cela ne m'importe plus. »
Je souhaite plus que tout en arriver là !!!! Que ça me passe au dessus, et que j’arrête de vouloir la sauver/protéger/guérir. D’arrêter de penser que je suis la cause de sa tristesse et que c’est de mon devoir de la rendre heureuse.
Citation:
« encore une fois, stoppe le contrôle. l'espace temps chez le psy est un des rare moment/lieu ou nous est donné cette possibilité. c'est un moment de respiration. ne mets pas de frein à ta parole. elle doit être libérée. »
C’est plus fort que moi, j’ai une telle colère en moi quand le blocage arrive que je n’arrive pas à faire le processus inverse : me calmer pour me débloquer.
Respirer ? Ne plus vouloir contrôler la penser, mais comment ?
Demander une autre approche sur ce sujet là à ma psy ?
Merci pour tes encouragement :kiss: